Contrat de rivière Tarn-amont 2019-2024

Mis à jour le 24/06/22 | Imprimer

Un contrat de rivière, qu’est-ce que c’est ?

Un outil opérationnel pour atteindre les objectifs fixés par le SAGE

Un contrat de rivière est un outil opérationnel, d’initiative locale, permettant la mise en œuvre d’un programme d’actions sur cinq ans à l’échelle du bassin versant pour atteindre les objectifs de qualité des eaux et des milieux aquatiques définis lors de l’élaboration du contrat. Il permet d’agir de manière concertée sur l’ensemble des enjeux de la gestion de l’eau.

Le contrat de rivière du Tarn-amont constitue une traduction localisée et opérationnelle des orientations du SAGE du même nom.

Il se décline en 26 fiches actions réparties en 6 volets :

A – Lutte contre les pollutions
B1 – Entretien, restauration et mise en valeur des milieux aquatiques
B2 – Prévention et protection contre les risques d’inondations
B3 – Amélioration de la gestion quantitative et de la protection de la ressource en eau
B4 – Sécurisation, gestion et valorisation des activités sportives et de loisirs liées à l’eau
C – Coordination, sensibilisation et suivi du contrat de rivière

Le document du contrat de rivière Tarn-amont à télécharger : Dossier définitif du contrat de rivière Tarn-amont 2019-2024 (1724 téléchargements )

Plus d’informations sur Gest’eau

Validation du projet de contrat de rivière 2019-2024 du Tarn-amont

La commission de planification du comité de bassin Adour-Garonne, réunie le 27 juin 2019 à Toulouse, a donné un avis favorable à l’unanimité au projet de contrat de rivière Tarn-amont 2019-2024, porté par le Syndicat mixte du bassin versant du Tarn-amont (SMBVTAM).

Ce contrat de rivière a pour objectif de concrétiser les préconisations du schéma d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE) du Tarn-amont, document de planification de la politique locale de l’eau approuvé en décembre 2015 par les préfets de l’Aveyron, du Gard et de la Lozère.

Le contrat de rivière prévoit, pour les cinq ans à venir, de mener plus de 150 actions dans divers domaines (lutte contre les pollutions, préservation de la biodiversité, restauration des fonctionnalités naturelles des cours d’eau, sensibilisation…) en faveur des rivières et de leurs usages sur le territoire, pour 17,5 millions d’euros.